
Des absences d’élèves aux lourdes répercussions
En hausse à Montréal, elles complexifient le travail des enseignants et des directions d’écoles.
Un plan d’action a été soumis à Québec dans la foulée de l’enquête menée dans cette école primaire.
Une chaire de recherche dévoile un portrait fort encourageant de la situation de ces élèves au secondaire.
L’indépendance et la pertinence de cet institut sont remises en question dans le milieu de l’éducation.
Une commission sur l’enseignement privé recommande de ne renouveler qu’un an le permis de cette école de Victoriaville.
La Maison des savoirs aura le mandat d’offrir un parcours d’enseignement propre aux besoins des communautés autochtones.
Les défis sont nombreux pour les enfants et leurs familles.
Elle prévoit suspendre ou réduire certaines activités et diminuer le nombre de professeurs et membres du personnel.
Ils s’inquiètent des effets que cette décision aura sur la situation financière de milliers de personnes.
«Je me suis retrouvée avec des projets dont les coûts ont doublé, même triplé», affirme la ministre Pascale Déry.
Certains établissements n’ont pas été en mesure de dépenser l’entièreté de leur budget en infrastructure.
Le gouvernement s’attend ainsi à économiser 100 millions de dollars sur cinq ans.
40% des services de l’organisme sont utilisés depuis l’école pendant les heures de classe.
Les défis de rétention sont grandissants et les négociations pour de meilleures conditions de travail achoppent.
Bon nombre d’entre eux vivent donc avec des revenus moindres, rapporte une enquête de Statistique Canada.
Les syndiquées doivent tenir plusieurs rassemblements de quartiers pour marquer cette journée de grève.
La négociation actuelle portait seulement sur les aspects qui ont trait à l’enseignement en ligne.
Cette option s’impose parfois aux parents quand l’école n’est pas en mesure de répondre aux besoins de leurs enfants.
De nombreux parents n’ont pas été en mesure de répondre aux exigences gouvernementales.
Des parents qui enseignent à leurs enfants ne se sentent pas assez soutenus par leur centre de services scolaire.
«Nos enfants n’ont pas à payer pour les difficultés budgétaires actuelles de Québec.»