
Des propos de Poilievre sur l’accès à l’eau potable des Premières Nations critiqués
Il a indiqué qu’il encouragerait les dirigeants autochtones à soutenir les projets de ressources naturelles.
Il lui reproche des pourparlers de paix sans Kiev et critique ses insinuations sur qui a «commencé» la guerre.
L’équipe de Chrystia Freeland affirme que les données d’Élections Canada ne « racontent pas toute l’histoire ».
Ottawa continue de demander que Kiev soit inclus dans les pourparlers des Russes et des Américains.
Les Ontariens se rendront aux urnes pour des élections anticipées le 27 février.
Tour d’horizon détaillé des promesses et politiques du chef conservateur si son parti était élu au pouvoir.
L’aspirante cheffe libérale veut ralentir la croissance démographique jusqu’à ce que la crise du logement se stabilise.
L’organisation de défense des droits LGBTQ + craint pour le traitement de ses employés en sol américain.
«Si Mark Carney gagne, le Canada perd», a lancé le chef conservateur sans parler des autres candidats.
Ces dons proviennent de plus de 11 000 personnes.
Dans ses vidéos, le chef conservateur s’en prend davantage au banquier qu’à sa rivale libérale Chrystia Freeland.
Moscou avait été exclu du «Groupe des Huit» en 2014, année de l’annexion de la Crimée.
Alors que la menace américaine est sur toutes les lèvres, les partis d’opposition peinent à tirer leur épingle du jeu.
François-Philippe Champagne appuie pour la chefferie Mark Carney, «quelqu’un qui sait faire dans les crises».
Ils allèguent que M. Trudeau n’a pas donné de justification raisonnable pour la prorogation, ce qui la rendrait...
Elle établirait également un système pour moderniser les programmes de sécurité sociale comme l’assurance-emploi.
Il a notamment occupé plusieurs postes à la GRC, dont ceux de sous-commissaire et policier en chef du Manitoba.
Les libéraux fédéraux pourront voter pour leur prochain chef dès le 26 février, au lendemain du deuxième débat.
À l’inverse, un PLC dirigé par Chrystia Freeland chuterait de trois points, à 28%, contre 39% pour les conservateurs.
Elle rendrait illégale la «réduflation» et réduirait le coût de fonctionnement du gouvernement.
Le premier ministre promet une réponse «claire et ferme» à ces tarifs «injustifiés» qui entreront en vigueur le 12 mars.