
Jugé pour «insurrection», le président sud-coréen Yoon voulait empêcher une «dictature législative»
Les avocats de Yoon Suk-yeol défendent sa décision d’imposer la loi martiale lors de son procès au pénal.
USPS avait annoncé ne plus les accepter «temporairement» et «jusqu’à nouvel ordre», provoquant l’ire de Pékin.
Le festival réunit des dizaines de millions de fidèles venus s’immerger au confluent du Gange et de la Yamuna sacrés.
Les Chinois bénéficient depuis mardi, jour de réveillon, de huit jours consécutifs de congé.
La CIA a quant à elle estimé plus probable l’hypothèse d’une fuite que celle d’une transmission par des animaux.
Les procureurs qui enquêtent sur le président suspendu l’ont inculpé dimanche.
Ils portent la «responsabilité pénale du crime contre l’humanité de persécution liée au genre», estime Karim Khan.
Le royaume bénéficie depuis longtemps d’une réputation de tolérance envers les minorités sexuelles et de genre.
Le Bureau d’enquête sur la corruption a déclaré qu’il devrait être poursuivi pour «rébellion et abus de pouvoir».
Les juges doivent se prononcer avant juin entre la perte définitive de son titre et son retour aux affaires.
Le tremblement de terre a fait 27 blessés sans causer de dégâts majeurs, ont indiqué les autorités.
Des citoyens soutenant Yoon Suk-yeol ont fait irruption dans les locaux de justice et demandé sa remise en liberté.
Chef de l’opposition, il est cité dans 200 affaires. Ses quatre autres condamnations ont été annulées ou suspendues.
La Chine peine à se relever d’une grave crise de l’immobilier qui pèse sur le moral des consommateurs.
Les tarifs douaniers de Trump menacent le commerce extérieur du pays, qui se tourne ainsi vers la demande intérieure.
Presque tous les présidents sud-coréens ont mal fini.
Yoon Suk-yeol a dit obéir aux enquêteurs pour éviter une « effusion de sang ».
Le lancement pourrait viser à déstabiliser la Corée du Sud pendant la période de troubles que traverse Séoul.
Des milliers de caméras ont été installées dans la ville de Prayagraj pour surveiller les foules en temps réel.
Quelque 400 millions d’hindous sont attendus au festival de la Kumbh Mela, dans le nord du pays.
Une alerte préventive au tsunami, déclenchée en soirée, a été levée dans la nuit. L’électricité n’aurait pas été coupée.