
Ottawa veut enchâsser le financement de CBC/Radio-Canada dans la loi
La ministre St-Onge propose aussi que le gouvernement ne nomme plus le grand patron du diffuseur public.
Julie Marcoux changera ses créneaux habituels à «TVA nouvelles», tandis que Philippe-Vincent Foisy y fera ses débuts.
La journaliste quittera TVA après 37 ans de carrière.
Les deux organisations n’ont pas réussi à s’entendre sur un modèle collaboratif.
Le géant du Web doit donner 100 millions aux médias canadiens pour éviter la Loi sur les nouvelles en ligne.
« Oui, bien sûr que je suis inquiète », indique la nouvelle présidente-directrice générale de CBC-Radio-Canada.
Une phrase prononcée en début d’entrevue déroge aux normes et pratiques radio-canadiennes, selon l’ombudsman.
Des utilisateurs de Facebook et Instagram s’en plaignent, mais Meta dément avoir imposé ces comptes à qui que ce soit.
Frustré que son salut y soit associé à celui des nazis, il appelle ses partisans à ne plus financer la plateforme.
Il rejoint ainsi une longue série de personnalités et de médias pour, dit-il, rester fidèle à ses « valeurs ».
Citant «la toxicité» croissante et «l’intensification de l’activisme» d’Elon Musk, il rejoint nombre de grands médias.
Propulsée par Unpointcinq, elle aborde les questions environnementales de façon ludique pour rejoindre les jeunes.
Pour Josée Normandin, «Le Devoir» évoque l’image de son père derrière des pages qu’il a lues pendant près de 70 ans.
Malgré la barrière linguistique, Chris Eustace le choisit pour sa couverture du milieu de l’éducation.
André Desroches, d’Abercorn, dit avoir appris à lire et à écrire grâce au quotidien.
Judith Laurier lit «Le Devoir» assidûment, mais elle collabore aussi régulièrement avec ses journalistes.
Christophe Hinz a grandi en lisant le quotidien de la rue Berri.
Le journal était le seul à tenir tête au gouvernement Duplessis, selon Richard Boivin.
Lecteur «occasionnel» du journal, Léonard Minh Anh Langlois a un vif intérêt pour la politique et les textes d’opinion.
L’étudiant en journalisme lit «Le Devoir» depuis l’école secondaire.
Les enseignants de francisation d’Afiqah Yusuf lui ont suggéré de lire «Le Devoir» pour en apprendre plus sur le Québec.