
Ottawa veut enchâsser le financement de CBC/Radio-Canada dans la loi
La ministre St-Onge propose aussi que le gouvernement ne nomme plus le grand patron du diffuseur public.
Après avoir perdu une subvention de Patrimoine Canada, la revue a lancé une campagne de sociofinancement.
La station musicale de Cogeco a procédé lundi à un changement de dernière minute dans sa programmation.
Entre quêter et taxer, une troisième voie financière est-elle possible pour les médias publics ?
Après près de 40 ans de carrière comme journaliste, il a animé son dernier bulletin d’information à TVA vendredi midi.
Les studios de Bell Média étaient en plein coeur de la zone inondée à Montréal, dans le Centre-Sud.
Les journalistes seront intégrés au service de l’information, mais huit postes ne seront pas remplacés.
Le financement fédéral du journal de Natashquan ne sera finalement pas arrêté.
La plupart des programmes en communication ont vu les demandes d’admission baisser de manière importante.
L’auteur travaillait à TVA depuis 2005, cumulant en tout 40 ans de carrière dans ce milieu.
Les deux services d’écoute ne feront qu’un à compter du 23 octobre.
Le 99,5 FM change partiellement de vocation en rediffusant la radio parlée de Québecor.
Le radiodiffuseur refusait de divulguer le montant versé, après avoir supprimé des centaines d’emplois la même année.
Deux pages des éditions papier ont remporté des prix d’excellence en design d’information.
Le réseau public d’information régionale, qui existe depuis une vingtaine d’années, est à la croisée des chemins.
La station musicale a pratiquement annoncé jeudi soir la fin de ses activités.
Certaines compétitions des Jeux olympiques ont eu des cotes d’écoute s’approchant du million.
Les journalistes Catherine Lalonde et Alexandre Shields ainsi que le photographe Valérian Mazataud ont été nommés.
S’il ne propose pour l’instant que des actualités musicales, le magazine espère étendre son champ de couverture.
Dans le secteur des médias imprimés et de l’édition de livres, le nombre de salariés a plongé de 36 % en six ans.
Le marché francophone de Montréal a perdu près du quart de ses revenus depuis la pandémie.