Décès de Jean-Denis Gendron, qui a présidé une commission d’enquête sur le français
Il a ouvert la voie à l’adoption du français comme langue officielle et langue du travail du Québec.
Caroline Montpetit
Caroline Montpetit est journaliste au Devoir depuis 1990. D’abord généraliste, elle s’est intéressée successivement aux affaires sociales, à l’éducation, aux affaires autochtones et à la culture. Elle détient une maîtrise en littérature et a publié deux recueils de nouvelles, Tomber du ciel (2006) et L’enfant (2009). Son reportage sur les femmes et la dot en Inde, publié dans la Gazette des femmes en 2004, lui a valu le prix de journalisme d’Amnistie internationale. Passionnée de voyage et de plein air, elle a été plusieurs fois lauréate du Prix de journalisme en loisir.
Les plus récents
À Montréal, les voisins sont unis sous les bourrasques
La tempête a spontanément fait resurgir entraide et solidarité entre voisins à Montréal.
Nous sommes toujours au début d’un temps nouveau
Nous sommes toujours au début d’un temps nouveau. C’est notre temps, à nous de le rendre habitable.
«Cartographie de la porte du non-retour», la forteresse du passé
Dans son essai, la poète canadienne Dionne Brand réfléchit sur la mixité sociale au temps présent.
Montréal de tous les dangers pour les femmes en situation de handicap
Sortir de chez soi peut rapidement devenir un parcours du combattant, selon un rapport sur l’accessibilité.
«J’ai peur de tomber et de me blesser»: quand la vie quotidienne en ville est un combat
Des personnes en situation de handicap témoignent des embûches qui se présentent à elles au quotidien.
Embellir la mort au quotidien
Yves Légaré travaille depuis toujours à rendre la mort plus acceptable à nos yeux.
«La promesse Brel»: Brel comme s’il y était
Arnaud Askoy incarne sur scène le Grand Jacques, de corps, de voix et d’esprit.
«Pé-youquew», «nicheou», «niche-tou», Un, deux, trois
Laura Niquay souhaite que des non-Autochtones apprennent sa langue, et elle propose un album de comptines pour débuter.
«Le Devoir» comme professeur
André Desroches, d’Abercorn, dit avoir appris à lire et à écrire grâce au quotidien.