
«The Breakfast Club»: l’emblématique film d’ados a 40 ans
En 1985, John Hughes et cinq jeunes interprètes créèrent, avec peu de moyens, un futur classique du cinéma américain.
En 1985, John Hughes et cinq jeunes interprètes créèrent, avec peu de moyens, un futur classique du cinéma américain.
Critique Entre édification, mièvrerie et spiritualité au rabais, ce drame «basé sur une histoire vraie» ennuie solidement.
Critique Osgood Perkins adapte Stephen King sur un ton d’horreur burlesque, loin des langueurs macabres de «Longlegs».
Critique Durant la pandémie, deux acteurs anglais au chômage ont monté un «Hamlet» à même le jeu vidéo «Grand Theft Auto».
Critique Cette adaptation en prise de vues réelles du conte animalier autrichien est aussi jolie qu’ennuyante.
Critique Paolo Sorrentino se fourvoie dans un film complaisant où une jeune femme brillante fait les frais de sa splendeur.
Caroline Poggi et Jonathan Vinel créent à partir de jeux vidéo un cinéma nouveau qui traverse les genres.
Michael Wilson et Barbara Broccoli se retirent de la production directe des films autour du célèbre espion britannique.
La réalisatrice Jenny Cartwright signe un documentaire caustique, très critique du modèle électoral en place.
Ces deux films ont dominé les Bafta, tandis qu’«Emilia Pérez», au centre de polémiques récentes, a récolté deux prix.
Les polémiques autour d’«Emilia Pérez» vont-elles plomber ce film, au profit de «Conclave» et du «The Brutalist»?
Son p.-d.g. croit que l’approche «Canada d’abord» face aux tarifs américains pourrait nuire à terme au cinéma d’ici.
Critique Benjamin Lavernhe et Pierre Lottin forment un merveilleux duo fraternel dans un film qui fait beaucoup de bien.
Il y a 55 ans, ce chef-d’œuvre de Claude Chabrol contait la relation trouble entre une enseignante et un tueur en série.
Le quotidien d’Hugo Joncas n’a rien de celui d’un espion de Sa Majesté, mais il a à l’œil les bandits à cravate.
Critique Paddington et la famille Brown font un voyage mémorable au Pérou pour rendre visite à la tante Lucy.
Critique Miles Teller et Anya Taylor-Joy affrontent des monstres, entre science-fiction, horreur et romance.
Critique Un «Captain America» qui se la joue géopolitique (bien) avant de retomber dans les combats habituels (bof).
Premier grand rendez-vous de l’année de l’industrie du cinéma, le festival se considère comme progressiste et politique.
Dans le nouveau film de Marvel, Harrison Ford incarne un président américain monstrueux, littéralement.