
Pierre Poilievre a déjà choisi son adversaire, et c’est Mark Carney
Dans ses vidéos, le chef conservateur s’en prend davantage au banquier qu’à sa rivale libérale Chrystia Freeland.
Correspondant parlementaire à Ottawa
Boris Proulx est un journaliste spécialisé en politique fédérale. Il est basé dans la région de la capitale canadienne, où il a notamment travaillé pour le bureau parlementaire du Journal de Montréal à Ottawa et pour Radio-Canada Ottawa-Gatineau. Sa première collaboration avec Le Devoir date de 2016. Son travail à l’international l’a emmené à signer des reportages aux États-Unis, en France, et au Japon, notamment.
Dans ses vidéos, le chef conservateur s’en prend davantage au banquier qu’à sa rivale libérale Chrystia Freeland.
Les libéraux fédéraux pourront voter pour leur prochain chef dès le 26 février, au lendemain du deuxième débat.
Les deux ontariens ont annoncé lundi qu’ils ne se représenteront pas aux prochaines élections.
Parmi les 400 000 personnes qui voteront pour le nouveau chef libéral se trouvent certainement de faux militants.
Le terme est chéri par le président Trump, mais il ne s’agira pas du titre exact du poste créé lundi.
L’ancienne ministre déplore le choix de Mark Carney d’avoir lancé sa course à la chefferie aux États-Unis.
Il souhaite ce déploiement pour assurer la sécurité du Canada, et non pour plaire au président Trump, précise-t-il.
Le président américain a réitéré que son pays peut se passer de ses importations du Canada.
Plusieurs provinces répliquent à l’imposition de tarifs par les États-Unis en s’attaquant à l’alcool.
Les marchandises visées incluent des biens de consommation et des produits alimentaires.