
Des absences d’élèves aux lourdes répercussions
En hausse à Montréal, elles complexifient le travail des enseignants et des directions d’écoles.
Enquête La qualité des formations accélérées ayant obtenu le soutien de Québec est mal connue.
En niant que les noms des enseignants étaient connus, le CSSDM «nous prend pour des valises», dit Marwah Rizqy.
Isabelle Gélinas était sous le feu des critiques pour sa gestion du climat toxique au sein de l’établissement.
Le phénomène prend plusieurs formes selon les niveaux d’enseignement et les types d’établissement.
Les ententes avec la France sont peu remises en question, même à l’heure où le réseau universitaire cherche des fonds.
S’ils ne représentent pas la «manne» souvent évoquée, ils apportent au Québec davantage que ce qu’ils payent.
Dans certaines régions, les centres de services scolaires ferment tous leurs services en la matière.
«C’est super, les livres, mais on manque de gens pour les traiter», déplore l’APSDS.
Au tour du CSS Marguerite-Bourgeoys de fermer la porte aux nouveaux élèves en francisation.
Malgré leur importance, le ministère de l’Éducation ignore jusqu’à leur nombre sur le territoire québécois.
La gestion des problèmes de l’école primaire Bedford par Isabelle Gélinas est montrée du doigt.
Dans cet établissement primaire de Montréal, des lacunes ont été constatées dans l’enseignement de nombreuses matières.
Environ 11 000 élèves de la région de Québec pourraient se voir privés de transport dès vendredi prochain.
Leur nombre a augmenté de 55% l’an dernier au Québec par rapport à la moyenne des quatre dernières années.
Le ministère a échoué l’an dernier à atteindre ses objectifs en matière de réussite scolaire et de recrutement.
Ces professeurs ont débrayé pendant plus de cinq semaines cet automne.
Depuis un an, des établissements ont dû s’adapter à la montée de l’antisémitisme.
La directrice générale adjointe a tenté de se montrer rassurante sur la fermeture de classes de cheminement particulier.
Enquête Avec leur entreprise, Mario Richard et Steve Bissonnette ont reçu des milliers de dollars en redevances et en contrats.
En 92 ans d’histoire, c’est plus de 30 000 Canadiens qui ont appris leur français à Trois-Pistoles.