Le TGV, un lien vecteur de transformations

Avec la possibilité de sortir la capitale du Québec de son isolement par voie terrestre, le TGV s’impose. À cause des mauvais transports collectifs entre Québec et Montréal, les ministères ont besoin de deux endroits pour s’administrer. Un lien rapide d’une heure entre la capitale et Montréal éviterait cette duplication des bureaux de ministres. Évidemment, les ministres québécois doivent accepter de venir vivre à Québec à temps plein. En plus, plusieurs entreprises viendraient s’installer près du pouvoir, à Québec. La ville de Québec connaîtrait une vie transfigurée. Pour l’immigration, ce serait aussi un second pôle de résidence. On éviterait la congestion migratoire à Montréal. Bref, à tous les points de vue, la ville de Québec gagne à être reliée à la métropole par un TGV.

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