
Bien comprendre le REER pour mieux l’utiliser
Ce véhicule d’épargne est assez prisé des Québécois, qui ne l’emploient toutefois pas toujours de manière optimale.
L’heure de la relâche n’a pas (encore) sonné
L’année 2025 est bien amorcée et, avec elle, les questionnements sur la manière de gérer ses finances personnelles dans un contexte incertain. Le marché immobilier, par exemple, montre des signes timides de desserrement, ce qui ne signifie pas pour autant la fin des obstacles pour les personnes espérant devenir propriétaires. Du côté des épargnes-retraites, il reste quelques semaines aux Canadiens afin qu’ils cotisent à leur REER pour l’année 2024. Tous ne savent cependant pas comment tirer de cet outil un profit optimal. Enfin, un regard sur le crédit à la consommation au pays révèle que les ménages consacrent de plus en plus d’argent à rembourser leurs dettes, qui s’accumulent. Ces problématiques passeront sous la loupe de ce cahier spécial, qui s’intéressera également à la fiscalité québécoise, dont la progressivité contribue à réduire les inégalités.
Télécharger la version PDFCe véhicule d’épargne est assez prisé des Québécois, qui ne l’emploient toutefois pas toujours de manière optimale.
Les aspirants acheteurs ont plus de facilité à concrétiser leur projet, mais des tensions restent, estime RBC Economics.
Les consommateurs remboursent davantage leurs dettes qu’ils n’épargnent.
La progressivité des mesures aide à amoindrir les écarts de richesse, montre le récent Bilan de la fiscalité au Québec.