Le privé en santé
Lettre À lire parmi notre sélection quotidienne de lettres rédigées par nos lecteurs.
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Éditorial L’exode des médecins du Québec vers le privé témoigne du chaos invivable qui règne au public.
Une vingtaine de chirurgies en orthopédie, oto-rhino-laryngologie, gynécologie et en urologie sont autorisées.
Le ministre de la Santé estime que son projet de loi déposé mardi est une «première étape».
Libre opinion Il y a là un cercle vicieux, qu’on doit briser de toute urgence pour permettre aux services publics de se relever
Chronique À l’instar de l’horizon, l’atteinte des objectifs en santé semble s’éloigner au fur et à mesure que l’on avance.
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Le sevrage, corrige le ministre, s’applique seulement aux agences de personnel.
Préoccupé par la place du privé en santé, l’ordre professionnel publie ses principes directeurs à ce sujet.
Plus de 40% des répondants d’un sondage ont eu recours à des services non couverts par la RAMQ ces 5 dernières années.