
La crise de la culture, l’éléphant dans la pièce de RIDEAU et du festival Phoque OFF
À une exception près, aucun des deux événements n’a évoqué les turpitudes économiques du secteur.
À une exception près, aucun des deux événements n’a évoqué les turpitudes économiques du secteur.
Libre opinion Inspirons-nous de la France d’avant l’accord Blum-Byrnes pour valoriser et rendre plus accessible notre culture.
Idées Le désengagement canadien est là pour de bon; à Québec de prendre le relais, maintenant.
Le premier long métrage de Zachary Ayotte prend la forme d’une allégorie onirique, dans le style de Terrence Malick.
Le projet «Voir le cinéma québécois, c’est l’adopter» vise à élargir l’auditoire du cinéma québécois.
L’hyperconcentration des dépenses en matière de culture favorise jusqu’à dix fois plus Montréal et Québec.
Ses membres auront pour mandat d’analyser et de réviser le système de financement et le fonctionnement de l’industrie.
Un banquier qui finance les tournages siège au CA, tout comme des dirigeants d’entreprises subventionnées.
La société d’État offre également son soutien à huit autres fictions de même qu’à une douzaine de documentaires.
Idées Les artistes-entrepreneurs devraient eux aussi pouvoir prendre part à la destinée de notre industrie musicale.