À la recherche de l’instantanéité et du néant comme source de bien-être collectif national
Commentaire sélectionné parmi les réponses au texte « “Négocier” par la cruauté » sur le site Web du Devoir, le 7 février 2025
Israël et surtout l’Occident m’apparaissent comme les grands perdants de l’actuel conflit dans cette partie du monde. Cette perte est à la fois morale, juridique et politique. Elle remet même en question le développement durable de l’humanité si les nations les moins compromises ne reprennent pas rapidement les choses en main. Il a fallu au moins deux guerres mondiales pour asseoir internationalement le respect des frontières internationales, le droit international de la guerre et le droit international humanitaire et… un peu moins de trente ans pour les voir aussi bafouées et défigurées par plusieurs nations fondatrices de l’ONU ; la cruauté de certaines envers les nations et les populations les plus vulnérables, voire leur cruauté, reprend du galon un peu partout dans le monde, plusieurs leaders politiques nationaux, certains infréquentables tout en ayant été démocratiquement élus, la remettant à l’ordre du jour comme moyen d’améliorer le bien-être de leurs populations.