
Comment une ville polonaise cohabite avec le camp d’Auschwitz 80 ans plus tard
«Le Devoir» s’est rendu à Oświęcim, où est situé l’ancien site nazi d’extermination, libéré il y a 80 ans.
Journaliste indépendant
Patrice Senécal est journaliste indépendant installé à Varsovie, d’où il couvre l’actualité polonaise et d’Europe centrale pour des titres de presse francophone. Auparavant, il a signé des reportages en Hongrie, dans les Balkans ou encore dans la Biélorussie d’Alexandre Loukachenko. Il est natif de Montréal et collabore avec Le Devoir depuis juillet 2019.
«Le Devoir» s’est rendu à Oświęcim, où est situé l’ancien site nazi d’extermination, libéré il y a 80 ans.
«Le Devoir» s’est rendu dans cette ville où, sur les 60 000 habitants avant-guerre, 10 000 se résignent à rester.
Vidéo Où en est le conflit en Ukraine? On fait le point avec notre collaborateur Patrice Senécal, installé en Pologne.
L’élection de Donald Trump provoque l’inquiétude chez certains.
On entend souvent ces mots à Kherson, dont on souligne cette semaine les deux ans de la libération.
«Les soldats russes ont pris les enfants, les ont embarqués dans des bus, et sont partis.»
C’est depuis le ciel que l’armée du Kremlin fait désormais régner sa terreur dans cette ville du sud de l’Ukraine.
Même s’il a écrasé la tentative de révolution en 2020, le régime maintient la population dans un climat de terreur.
Le régime du «dernier dictateur d’Europe» semble maintenant entrer dans l’ère du culte de la personnalité.
C’est parce que Loukachenko craignait pour son pouvoir que Moscou a pu attaquer Kiev.