
Les oppositions demandent des excuses, des explications, voire une enquête sur Pascale Déry
Des soupçons d’ingérence politique et de conflits d’intérêts planent sur la ministre de l’Enseignement supérieur.
Des soupçons d’ingérence politique et de conflits d’intérêts planent sur la ministre de l’Enseignement supérieur.
Le CIJA a joué un rôle en amont d’une enquête déclenchée par l’élue, qui est une ex-administratrice du groupe.
Ils s’inquiètent des effets que cette décision aura sur la situation financière de milliers de personnes.
«Je me suis retrouvée avec des projets dont les coûts ont doublé, même triplé», affirme la ministre Pascale Déry.
Certains établissements n’ont pas été en mesure de dépenser l’entièreté de leur budget en infrastructure.
Le gouvernement s’attend ainsi à économiser 100 millions de dollars sur cinq ans.
La ministre a dit vouloir que tous les étudiants en échec puissent être accompagnés adéquatement.
La ministre s’est opposée à l’idée d’imposer des quotas de professeurs musulmans, avancée par un comité du fédéral.
La ministre Déry a lancé mardi des investigations sur la «sécurité des étudiants» des deux cégeps.
Éditorial Universités et cégeps ont raison de déplorer le virage opéré par Québec avec son plafond des étudiants étrangers.