
Le ministre des Finances Dominic LeBlanc appuie Mark Carney à la chefferie du PLC
Il a démontré « à maintes reprises qu’il a ce qu’il faut pour diriger une économie du G7 en eaux troubles », dit-il.
Fondé en 1867, le Parti libéral a toujours dominé la scène politique fédérale du Canada, en alternance avec le Parti conservateur, et est dirigé, depuis 2013, par Justin Trudeau, premier ministre depuis 2015. Depuis les années 1960, les libéraux se sont inscrits dans l’esprit des électeurs comme les défendeurs du bilinguisme, du multiculturalisme, du progressisme et du fédéralisme au Québec.
Il a démontré « à maintes reprises qu’il a ce qu’il faut pour diriger une économie du G7 en eaux troubles », dit-il.
L’équipe de Chrystia Freeland affirme que les données d’Élections Canada ne « racontent pas toute l’histoire ».
Dans ses vidéos, le chef conservateur s’en prend davantage au banquier qu’à sa rivale libérale Chrystia Freeland.
François-Philippe Champagne appuie pour la chefferie Mark Carney, «quelqu’un qui sait faire dans les crises».
Elle établirait également un système pour moderniser les programmes de sécurité sociale comme l’assurance-emploi.
Les libéraux fédéraux pourront voter pour leur prochain chef dès le 26 février, au lendemain du deuxième débat.
Éditorial Gare aux prophéties électorales libérales: les courants sous-jacents, à Québec comme à Ottawa, n’ont pas tous changé.
À l’inverse, un PLC dirigé par Chrystia Freeland chuterait de trois points, à 28%, contre 39% pour les conservateurs.
Elle rendrait illégale la «réduflation» et réduirait le coût de fonctionnement du gouvernement.
Deux débats se tiendront à Montréal à la fin du mois, l’un en français et l’autre en anglais.