
Nétanyahou ordonne une «opération intensive» après des explosions dans des bus
La police israélienne a fait état jeudi soir d’explosions dans trois bus à Bat Yam, qui n’ont pas fait de blessés.
Selon le Comité international de la Croix-Rouge, la plupart des personnes libérées sont des cas humanitaires.
L’État hébreu viole ainsi l’un des termes de la trêve avec le Hezbollah, qui prévoyait un retrait d’ici le 26 janvier.
Ce deuxième échange d’otages contre prisonniers intervient près d’une semaine après l’entrée en vigueur d’une trêve.
Sa distribution tant espérée est rendue chaotique par la désorganisation dans le territoire palestinien.
Le nouveau président libanais a dénoncé « la poursuite des violations israéliennes terrestres et aériennes ».
Le ministère de la Santé de l’Autorité palestinienne avait fait état mardi soir de dix morts dans l’opération à Jénine.
Le plus récent bilan de l’opération est de 10 morts et 35 blessés, selon le ministère de la Santé palestinien.
Il s’agit d’une nouvelle embarrassante pour Nétanyahou, qui s’est engagé à détruire ce mouvement.
Le ministre de la Défense réclame le démantèlement des Forces démocratiques syriennes, dominées par les Kurdes.
Tous les objectifs de la guerre n’ont pas été atteints, a noté le général Herzi Halevi, en pleine trêve avec le Hamas.
Le 2e jour de la trêve entre l’État hébreu et le Hamas a été marqué par un premier échange d’otages et de prisonniers.
Des milliers de Gazaouis déplacés sont rentrés chez eux dimanche dans le territoire palestinien « devenu invivable ».
Trois Israéliennes sont rentrées en Israël après 471 jours de captivité dans la bande de Gaza, dimanche.
L’accord entre en vigueur dimanche et prévoit un échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.
Près de 69% des bâtiments de la bande de Gaza ont été détruits. Mais selon plusieurs, la vie dans le camp est bien pire.
L’objectif du premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou était pourtant de rayer le groupe de la carte.
Les États-Unis ont bon espoir que le cessez-le-feu commence dimanche comme prévu.
Sa coalition gouvernementale pourrait être ébranlée, mais son héritage, réévalué.
L’accord, en trois phases, pourrait mener à la fin de la guerre. Des experts se prononcent.
Plusieurs rassemblements spontanés ont eu lieu dans plusieurs localités de la bande de Gaza.