
Le Canada comme 51ᵉ État, un «running gag» à Washington, déplore Mélanie Joly
La ministre des Affaires étrangères a dû recadrer des sénateurs américains lors de ses rencontres diplomatiques.
La politicienne canadienne Mélanie Joly siège à la Chambre des communes pour la circonscription d’Ahuntsic-Cartierville depuis les élections fédérales de 2015. Membre du Parti libéral du Canada (PLC), elle est ministre des Affaires étrangères dans le cabinet de Justin Trudeau depuis 2021, après avoir été ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles puis ministre du Tourisme, des Langues officielles et de la Francophonie.
En 2025, après la démission de Trudeau, elle fait partie des ministres qui songent à participer à la course à la chefferie du PLC.
La ministre des Affaires étrangères a dû recadrer des sénateurs américains lors de ses rencontres diplomatiques.
Ottawa continue de demander que Kiev soit inclus dans les pourparlers des Russes et des Américains.
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Elle a aussi abordé la question des tarifs douaniers en déclarant que le plan canadien de riposte avait fait réagir.
Mélanie Joly était de retour à Washington mercredi pour rencontrer le secrétaire d’État Marco Rubio.
Mélanie Joly fera valoir l’opposition du Canada aux tarifs douaniers auprès du nouveau secrétaire d’État de Trump.
«Nous réagirons et, je le répète, tout est sur la table», affirme le premier ministre Justin Trudeau.
Elle lorgnait le poste, mais ne veut pas laisser de côté le ministère des Affaires étrangères pour le retour de Trump.
Au moins quatre ministres du gouvernement songent à se lancer dans la course à la succession de Justin Trudeau.