
Les ruines de Paris
Yves Marchand et Romain Meffre, (texte) Nathan Dever, éditions Albin Michel, Paris, 2025, 132 pages
L’écrivaine d’origine montréalaise s’est retrouvée finaliste du prix Booker avec un second roman indéfinissable.
La fiction présente dans les livres peut jouer un rôle prépondérant pour résister aux instances de pouvoir.
Isabelle Décarie et Stéphanie Filion offrent de rares représentations du désir féminin dans la cinquantaine.
Des poètes à surveiller dans une rentrée qui promet de nous remuer.
La rentrée hivernale de littérature jeunesse promet de ravir tous les publics.
Quelques suggestions de titres qui scrutent notre histoire et le monde d’aujourd’hui en profondeur.
Sensationnalisme et honte, situation du Liban et de l’Ukraine; les essais étrangers de l’hiver s’annoncent passionnants.
Histoires de famille et Histoire avec une majuscule dominent dans la cuvée hivernale 2025.
Du Sud ou du Nord, les auteurs du continent américain interrogent le passé, le présent et le futur.
50 ans après l’apparition du terme autofiction, les récits de soi sont plus lus et célébrés que jamais.
Du Japon à la Suède, en passant par l’Inde, le monde vous ouvre ses pages. Une sélection par Christian Saint-Pierre.
Humoristiques, fantastiques ou encore technologiques, les romans québécois interrogent le présent sur tous les tons.
Huit femmes témoignent de tels agissements dans une enquête du «New York Magazine» parue lundi.
Les nouveautés à souligner dans le monde foisonnant du roman policier. Par Michel Bélair.
La rentrée littéraire hivernale se fait généreuse en matière de bulles et de cases.
Un troisième livre de poèmes québécois y sera publié, après ceux de Gaston Miron et de Denise Desautels.
Selon l’historien et sociologue, la province a perdu ses espérances sans les remplacer.
Daniel Rolland et Sylvain Champagne retracent en textes et en photographies d’archives un siècle d’histoire du quartier.
L’éditeur de Québec a perdu 75% d’une de ses subventions à la suite de la vente de sa branche axée sur la littérature.
Critique L’autrice nous plonge au cœur de la diaspora algérienne avec la plus grande douceur, malgré la fumée et les morts.