
Les ruines de Paris
Yves Marchand et Romain Meffre, (texte) Nathan Dever, éditions Albin Michel, Paris, 2025, 132 pages
Je suis quelqu’un qui a l’habitude de rire énormément, et j’ai l’impression que je ris si peu, ces temps-ci.
Dans «L’homme au camion», l’écrivaine procède à une bouleversante réconciliation avec le père.
Depuis plus d’un an, des voix s’élevaient pour critiquer les liens de la banque avec un fabricant d’armes israélien.
Antonin Marquis publie cet essai sur les leçons d’une vie plus ou moins exemplaire selon Léon Tolstoï.
Critique Les choix de Hugues Corriveau et de Yannick Marcoux.
Dans un essai intitulé «Recueillir», l’écrivaine élabore une réflexion sur la pratique littéraire de la citation.
L’heure idéale pour aller au gym, c’est 11 heures du matin en semaine.
Quand j’écoute une chanson, j’aime l’avoir dans son emballage complet.
Fidèle à lui-même et à ses maîtres, l’auteur du «Monde selon Garp» signe un roman touffu et insolent.
Critique À 85 ans, Paul Chamberland n’a pas fini de poser son regard scrutateur et intransigeant sur la société actuelle.
Critique Dan Franck fait de l’histoire des artistes et des écrivains en France au XIXe siècle un fascinant roman d’aventures.
Critique Deon Meyer replonge dans les années sombres de la corruption étatisée qui freine encore l’élan de l’Afrique du Sud.
Comprendre les révolutions de 1848 en Europe pourrait nous aider à nous situer, selon l’historien Christopher Clark.
L’auteur du succès «Da Vinci Code» le qualifie de «son roman le plus complexe et le plus ambitieux».
Dans son essai, le journaliste scrute la polarisation qui règne aux États-Unis.
Critique Les choix d’Ismaël Houdassine et de François Lemay.
Ancien espion britannique, John le Carré fut davantage au service de la littérature que de l’Empire ou de Sa Majesté.
Critique Jean-Paul Beaumier et Hélène Laforest, deux nouvellistes qui célèbrent la beauté des relations humaines.
Critique Puissante saga familiale et historique, le roman de Haratischwili nous plonge dans le chaos des années 1990 en Géorgie.
Critique L’héroïne du premier roman d’Alizée Goulet se perd à New York pour mieux se retrouver.