Kharkiv, ville cible, dans l’œil de Charles-Frédérick Ouellet
À Kharkiv, les citoyens ont appris à vivre sous la menace constante des bombardements. Dans le nord-est de la ville, dans les décombres d’un quartier lourdement bombardé au début du conflit, un homme prend soin d’une colonie de pigeons paons, une scène surréelle qui évoque la résilience des habitants qui ont décidé de rester à Kharkiv. À l’aube d’une nouvelle année, le calme règne. En dépit de la menace constante des bombardements ainsi que des sirènes qui retentissent à toute heure du jour et de la nuit, la vie suit son cours dans la deuxième ville d’Ukraine. Située à moins de 30 kilomètres de la ligne de front, Kharkiv reste une cible en raison de son emplacement stratégique.













