
Un psychologue de Québec arrêté pour des actes sexuels allégués sur des mineures
Le service de police de la ville de Québec recherche d’autres victimes de Jean-Charles Nayebi.
Le gouvernement devra verser un peu plus de 767 000 $ au conseil de bande, tranche la Cour suprême.
Bernardo purge une peine d’emprisonnement à perpétuité pour deux cas d’enlèvement, d’agression sexuelle et de meurtre.
«Mon objectif était de le distraire avec ces coups de poing», a déclaré l’agent.
Il est notamment reconnu coupable de méfait et d’entrave au travail de la police lors de la manifestation de 2022.
Une mission du Québec a rapporté diverses pistes de solutions afin de mieux protéger les victimes de violence conjugale.
Pour eux, cette disposition viole leurs droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique.
Le plaignant avait vu sa demande d’exemption pour sa fille d’un cours sur l’identité de genre être refusée l’an dernier.
Des collègues de travail de la jeune fille ont témoigné au procès de ses deux frères, accusés de son enlèvement en 2021.
Charles-Xavier Boislard est l’un des trois entraîneurs de l’école secondaire Saint-Laurent arrêtés en 2022.
Les deux jeunes hommes sont accusés d’enlèvement, de séquestration, de voies de fait et de méfait.
«Je me sens comme dans une cage», dit la femme qui doit se défendre contre des poursuites à répétition.
Les juges sont maintenant outillés pour la nommer et la sanctionner.
Mohamad Al Ballouz, qui s’identifie désormais comme femme, se serait acharné sur son épouse à coups de couteau.
Malgré une injonction du tribunal qui lui interdisait de s’approcher de sa conjointe, il est accusé de l’avoir tuée.
L’organisme exige la traduction des décisions unilingues de la Cour suprême qui datent d’avant 1970.
Le projet pourrait être propulsé grâce au soutien des donateurs.
Un organisme québécois avait entamé une poursuite pour l’obliger à traduire quelques 6000 décisions rendues avant 1969.
Il a invalidé un article de la Charte de la langue française qui force la traduction immédiate de certains jugements.
L’organisme Droits collectifs Québec reproche au tribunal de contrevenir à la Loi sur les langues officielles.
JTI-Macdonald a annoncé ne pas l’appuyer, évoquant des « questions cruciales en suspens ».