Dès son premier mandat comme président des États-Unis, Donald Trump a utilisé la guerre commerciale comme stratégie politique. Il a d’abord imposé des droits de douane à la Chine, dès 2018, fragilisant l’économie mondiale.
Élu à nouveau en 2024, Trump commence son mandat en imposant des tarifs douaniers de 25 % sur tous les produits canadiens importés aux États-Unis. Le pétrole et le gaz sont, eux, touchés par des tarifs de 10%.
Des tarifs supplémentaires de 10 % à la Chine, et de 25 % sur les exportations mexicaines sont également imposés par les États-Unis.
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45% répondants à un sondage Léger disent même être fortement en faveur d’une telle mesure de rétorsion.
Libre opinion Il faudrait s’abstenir de céder à nos émotions du moment pour choisir les meilleures options pour l’avenir.
L’institution offrira des prêts pour aider les entreprises à se défaire de la dépendance américaine.
Le président américain se donne jusqu’au 2 avril pour décider s’il les impose ou non.
L’exportation de produits énergétiques est un facteur clé de l’excédent commercial de marchandises avec les États-Unis.
Analyse Les tarifs commerciaux n’ont aucune des vertus que leur prête Donald Trump, mais restent populaires.
Alors que la menace américaine est sur toutes les lèvres, les partis d’opposition peinent à tirer leur épingle du jeu.
Les voix dissidentes se font plus nombreuses aux États-Unis, observe-t-il en entrevue au «Devoir».
Le premier ministre est un «pee-wee» en matière de négociation, selon les libéraux.
Le premier ministre indien tente d’échapper aux foudres commerciales de Washington.