Grèves violentes et grèves non violentes
Lettre À lire parmi notre sélection quotidienne de lettres rédigées par nos lecteurs.
Lettre À lire parmi notre sélection quotidienne de lettres rédigées par nos lecteurs.
L’opposition à l’Assemblée nationale est divisée face au projet de loi 89 sur les conflits de travail.
Les grèves en éducation, dans le monde municipal et dans le secteur privé seraient particulièrement exposées.
Le Tribunal administratif du travail l’a inclu dans une liste de services essentiels.
Elles appliquent lundi leur troisième journée d’un mandat en comprenant cinq.
Quelque 13 000 travailleuses entameront une troisième journée de débrayage, et ce, d’un bout à l’autre du Québec.
Ils demandent notamment de freiner la sous-traitance et la privatisation et d’améliorer la conciliation famille-travail.
Le mandat de grève de ces travailleuses en est un de cinq jours, à exercer au moment opportun.
Les syndiquées doivent tenir plusieurs rassemblements de quartiers pour marquer cette journée de grève.
La négociation actuelle portait seulement sur les aspects qui ont trait à l’enseignement en ligne.