
Urgences-santé envoie ses cadres en renfort sur la route
Les transferts non urgents de patients d’un hôpital à l’autre, mis sur pause mardi matin, ont toutefois repris.
Journaliste
Florence Morin-Martel est journaliste au Devoir depuis 2022. Après avoir été correspondante parlementaire durant un an à l’Assemblée nationale, à Québec, elle est désormais de retour à Montréal. Elle a un fort intérêt pour les sujets liés à la santé, la santé mentale, les enjeux sociétaux et autochtones, la condition féminine et la littérature. Avant de se joindre au Devoir, elle a amorcé sa carrière de journaliste à La Presse.
Les transferts non urgents de patients d’un hôpital à l’autre, mis sur pause mardi matin, ont toutefois repris.
La Fédération québécoise des coopératives de santé estime que le modèle assurerait la pérennité de l’endroit.
La hausse des frais de fonctionnement fait mal aux propriétaires, soutient leur association.
Le phénomène serait en partie dû à la fatigue vaccinale post-pandémie.
La Santé publique s’inquiète du fait que la maladie pourrait désormais «circuler dans la communauté».
Les policiers craignent pour la vie de l’aîné qui était dehors depuis «quelques heures» quand il a été secouru.
Il préconise toutefois une clause de droits acquis pour permettre à ceux qui travailent déjà au privé d’y rester.
Cela permettra de favoriser les inscriptions de patients auprès de GMF, selon les médecins de famille.
Cela s’explique par la hausse du nombre de visites quotidiennes dans les urgences de la métropole, dit Santé Québec.
Québec «traite des symptômes sans s’adresser à la source du problème», dit la fédération médicale.