
À la Confrontation des 4 nations, l'ombre de Trump planera sur la glace
La soi-disant rivalité entre le Canada et les États-Unis n’a rien à voir avec le «niveau très très élevé d’émotion».
Journaliste
Journaliste au Devoir depuis 1998. À la nouvelle générale, puis à l’actualité municipale, avant de passer à la section économie en 2001. Outre l’actualité, il s’intéresse notamment aux impacts économiques, politiques et sociaux de grands phénomènes tels que la mondialisation, l’ascension des économies émergentes, les défis du développement durable, les nouvelles technologies et le choc démographique. En 2023, il publie le livre La crise de la main-d’œuvre aux éditions Somme toute / Le Devoir.
La soi-disant rivalité entre le Canada et les États-Unis n’a rien à voir avec le «niveau très très élevé d’émotion».
Analyse Les tarifs commerciaux n’ont aucune des vertus que leur prête Donald Trump, mais restent populaires.
La dernière remontée du chômage au Québec est trompeuse, prévient l’Institut du Québec.
Les producteurs canadiens d’acier craignent des effets «dévastateurs».
Analyse Même largement en suspens, la guerre commerciale qui se prépare a déjà commencé à coûter cher.
Les grandes caisses de retraite canadiennes ont près de 40% de leurs actifs aux États-Unis et seulement 25% au Canada.
Elles reposent sur le principe de la bonne foi de toutes les parties, contrairement à Donald Trump.
Analyse Présenté comme un champion des tarifs douaniers, William McKinley fait les frais d’une présentation sélective.
Le président américain tourne le dos à l’OCDE et rejette la taxe sur les géants du numérique.
Les experts se grattaient la tête lundi, Trump n’ayant pas annoncé les tarifs promis, mais ayant réitéré sa menace.