
Les partenariats autochtones du Québec dans l’éolien, un «modèle positif»
«On voit une transition survenir», dit James Jenkins, le directeur général d’Indigenous Clean Energy.
«On voit une transition survenir», dit James Jenkins, le directeur général d’Indigenous Clean Energy.
En moins d’un an, Hydro-Québec a annoncé des projets totalisant 7400 mégawatts, soit 15 % de sa puissance actuelle.
Les ententes concernant quatre parcs gaspésiens expireront avant 2030.
Ils se disent témoins d’une multiplication de projets énergétiques sans véritable débat public.
La Première Nation des Innus Essipit, la MRC du Fjord-du-Saguenay et Hydro-Québec en seront actionnaires.
Une des pales s’est brisée en pleine mer au large du Massachusetts l’été dernier, forçant les autorités à réagir.
Malgré les mesures prévues les scientifiques manquent d’informations pour évaluer les conséquences de ce type de projet.
La pétrolière britannique s’était pourtant distinguée en 2020 avec un ambitieux plan de neutralité carbone.
Idées Il ne faut pas que construire des éoliennes, il faut penser l’ensemble du cycle de vie de ces infrastructures.
Les 57 éoliennes du projet piloté par Hydro-Québec, Énergir et Boralex doivent entrer en service fin 2026.