La maladie a emporté plus de 10 000 Québécois, davantage en nombre absolu que la Seconde Guerre mondiale. La mort continue de marquer les familles et s’est immiscée dans l’imaginaire collectif. Récits pluriels d’un temps de pandémie.
Le vent semble être en train de tourner en faveur d’un sursaut d’ambition de la part de plusieurs États. Mais les progrès sont toujours trop lents pour éviter l’emballement climatique.
Cette année plus que jamais, les Québécois ont soif de rencontres, de rituels, de chaleur, de partage. Mais à quel prix ?
Le 3 novembre, les États-Unis choisiront leur président et une longue liste d'élus. À quel point les cartes seront-elles rebrassées? Le Devoir tente de démêler le tout.
L’éveil collectif se poursuit dans le milieu culturel. La récente vague qui a déferlé cet été a démontré les difficultés à responsabiliser les individus aux comportements problématiques.
L’enlèvement d’un diplomate britannique par le FLQ le 5 octobre 1970 est le point de départ d’une crise politique marquée notamment par l’arrestation sans mandat de près de 500 citoyens québécois et la mort du vice-premier ministre Pierre Laporte.
Avec la pandémie, le centre-ville de Montréal a pris des allures de désert, abandonné par plusieurs au profit du télétravail. Le Devoir s’interroge sur son avenir, s’il en a un.
Au Québec, le quart des crimes contre la personne sont commis dans un contexte de violence conjugale. Pourtant, c'est encore un véritable parcours de combattantes pour les femmes de prouver qu'elles en sont réellement victimes.
Déracinées, elles errent dans les rues de Montréal, trouvant réconfort dans l’alcool et la drogue. Et se retrouvent en « famille » au square Cabot. Rencontre avec ces Autochtones de la rue.
Dans le nord du Brésil, un esprit de résistance rythme le quotidien de la communauté munduruku, encerclée par la déforestation, la pression de l'industrie agroalimentaire et la haine ordinaire dans le pays de Bolsonaro.
