
Lire, beau temps, mauvais temps
La fiction présente dans les livres peut jouer un rôle prépondérant pour résister aux instances de pouvoir.
Claudia Larochelle est une journaliste et écrivaine montréalaise, notamment de la série jeunesse à succès La doudou. Son plus récent récit pour adultes s’intitule Les Disgracieuses. Elle anime les émissions Claudia à la page et le documentaire Lire pour vivre à Savoir Médias. Elle collabore à la télé et à la radio de Radio-Canada et signe aussi régulièrement des textes dans Elle Québec, Les Libraires et mensuellement dans Le Devoir. On peut aussi lire chaque semaine ses chroniques en ligne sur Avenues.ca et écouter son balado (Synthèse, saison 3) sur un crime non-résolu diffusé sur Qub. Elle est impliquée dans plusieurs causes sociales liées à l’importance de la lecture, à la promotion et la défense de la langue française. Elle est la maman comblée de deux charmants êtres humains. Et d’un matou.
La fiction présente dans les livres peut jouer un rôle prépondérant pour résister aux instances de pouvoir.
Une histoire de Noël qui finit tout en douceur.
Me voilà donc devenue, quelques heures chaque semaine, professeure de langue seconde et de littérature.
Si on parle beaucoup du haut taux de suicide chez les hommes, on approfondit moins la détresse des femmes.
Les livres de Nelly Arcan, disparue tragiquement il y a 15 ans, font partie de cette vie matérielle qui lui survit.
Plusieurs de ses pairs reçoivent des pluies d’éloges à leur décès, mais Odette Gagnon est disparue dans la discrétion.
L’époque où les «influenceuses» étaient nos tantes dont on voulait imiter la coiffure est bel et bien révolue.
La dernière cloche de l’année scolaire a retenti le 20 juin dernier. Mes petits sont «lâchés lousse» dans la nature.
J’admire celles qui marchent à contre-courant et qui font que la Terre tourne plus rondement.
Nous sommes peut-être en train de passer à côté de sacrées bonnes politiciennes.