
Le projet d’enfouissement nucléaire à Chalk River mis sur pause par la Cour fédérale
La communauté de Kebaowek obtient une victoire partielle. Le promoteur devra reprendre ses consultations.
La communauté de Kebaowek obtient une victoire partielle. Le promoteur devra reprendre ses consultations.
La députée Manon Massé a envoyé une lettre au premier ministre à ce sujet, cette semaine.
Avant de devenir président, il a contribué au dénouement du premier accident nucléaire au monde, non loin d’Ottawa.
Yves-François Blanchet espère qu’une prise de position du gouvernement québécois pourra influencer le fédéral.
Éditorial Les inquiétudes entourant le sort des débris radioactifs de l’usine de Chalk River s’étendent jusqu’au Saint-Laurent.
Chronique Tandis qu’Ottawa autorise le stockage de déchets nucléaires près d’un affluent du Saint-Laurent, l’industrie prospère.
«Il est de la responsabilité du gouvernement fédéral de tenir compte des craintes entourant le projet.»
Les Laboratoires nucléaires canadiens proposent de construire à même le flanc d’une colline un site d’enfouissement.
Située à près de 200 kilomètres au nord des laboratoires de Chalk River, Kebaowek n’en est pas moins préoccupée.
La communauté de Kebaowek plaide pour l’annulation d’une autorisation accordée au site de Chalk River.