
Evo Morales défie son inéligibilité et se déclare candidat à la présidentielle bolivienne
Outre une inéligibilité, il est accusé de «traite» de mineure et est visé par un mandat d’arrêt.
C’est la première fois de son histoire que la Cour interaméricaine se penchait sur le droit à l’avortement.
Le pouvoir judiciaire a accordé 200 révisions de mesures. 2 400 personnes ont été arrêtées lors de ces manifestations.
La loi, qui a été approuvée par le Sénat, concerne les élèves de 4 à 17 ans.
L’ex-président bolivien aurait eu une relation avec une adolescente avec laquelle il aurait eu une fille en 2016.
Ses médecins affirment que son état de santé est «stable» et «sous observation».
Ces violences portent le bilan à 5000 victimes cette année en Haïti, selon l’ONU.
Le coût socio-économique de ses vastes réformes «a été énorme», analyse le politologue Gabriel Vommaro.
Les 10 millions d’habitants de l’île avaient été privés de courant pour la troisième fois en moins de deux mois.
Une femme a déposé une plaine contre le chef d’État pour des faits remontant à il y a dix ans.
L’ancien chef de l’État aurait également eu «pleinement conscience» d’un projet présumé d’assassinat de Lula.
La nouvelle présidente de gauche Claudia Sheinbaum répond aux menaces du président américain désigné.
«Les enfants et les familles sont de plus en plus désespérés en raison de l’extrême pauvreté», selon l’UNICEF.
Yamandu Orsi avait fini largement en tête du premier tour le 27 octobre avec 43,9% des voix.
Le procureur général devra décider s’il y a lieu ou non d’engager des poursuites contre l’ancien chef d’État.
À Rio, le président français répondait à un Haïtien qui l’interpellait sur les crises dans ce pays des Caraïbes.
Au moins 28 membres présumés de gangs ont été tués et des centaines de munitions ont été saisies.
Cette annonce a aussitôt été jugée «ridicule» par le régime du président Maduro.
Au cours du seul mois de novembre, quelque 10 000 hectares de couverture végétale ont brûlé dans deux provinces.
Quelque 2 400 personnes ont été arrêtées officiellement après la réélection contestée du président vénézuélien Maduro.
Le retrait de la délégation argentine à la COP29 attise les craintes.