
«Nous n’avons plus d’endroit où vivre, il n’y a que des ruines», témoignent des réfugiés syriens
Ils ne savent pas si ni quand ils pourront retourner dans leur village d’origine.
Ils ne savent pas si ni quand ils pourront retourner dans leur village d’origine.
«Le Devoir» a pu pénétrer dans la prison al-Khatib, où ont été détenus des opposants dans des conditions atroces.
«Le Devoir» a rencontré des Libanais chassés par les combats dans le sud d’un pays au bord du chaos.
Au lendemain de la frappe d’Israël visant un commandant du Hezbollah, les Libanais oscillent entre colère et fatalisme.
Les eaux polynésiennes offrent un refuge pour une vingtaine d’espèces de squales, dont plusieurs sont menacées.
Des dizaines de milliers de réfugiés sont installés dans des camps dans le pays voisin de leur terre d’origine.
Sur le terrain, des Libanais disent déjà fourbir leurs armes, et d’autres s’inquiètent d’une escalade du conflit.
Les habitants de la région craignent l’ouverture d’un nouveau front dans la guerre opposant Israël et le Hamas.