Sur l’effet presque inexistant des directives médicales anticipées
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Depuis l’entrée en vigueur de l’aide médicale à mourir (AMM) au Québec, en décembre 2015, les statistiques démontrent que les demandes pour ce soin de fin de vie n’ont cessé de croître.
Le débat entourant le projet de loi 52 avait été vif lorsqu’il cheminait à l’Assemblée nationale, et l’application de la loi divise toujours les médecins — qui se plaignent notamment du lourd encadrement administratif entourant l’administration de l’AMM.
Avec l'adoption du projet de loi C-7 par le Sénat, en mars 2022, les Canadiens ont dorénavant accès à l’aide médicale à mourir, même s'ils ne sont pas aux portes d’une mort «raisonnablement prévisible».
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Une centaine de demandes ont été effectuées depuis qu’elles ont été permises, en octobre dernier.
Le cinéaste et l’actrice évoquent «The Room Next Door», récit poignant mais étonnamment lumineux d’une mort annoncée.
Les statistiques montrent aussi que la croissance des cas a considérablement ralenti.
Pier-Luc Latulippe et Martin Fournier ont capté les derniers mois de la vie de l’écrivain Simon Roy avec sa conjointe.
Les dispositions législatives adoptées en juin 2023 sont entrées en vigueur mercredi.
Les nouvelles dispositions législatives provinciales doivent entrer en vigueur à compte du 30 octobre.
Le nombre d’actes a augmenté de 9% en 2023-2024 par rapport à l’exercice précédent.
Idées Le Québec inspire — et inspirera encore — bien des pays avec son approche de plus en plus libre et digne.
Critique En regardant la mort en face, Marie Laberge célèbre magnifiquement la vie.