
La course à la chefferie du PLC prend forme
La candidature de Chrystia Freeland concrétise son duel annoncé avec l’autre grand favori, Mark Carney.
Correspondante parlementaire à Ottawa
Sandrine Vieira couvre la politique fédérale depuis 2023 à titre de correspondante parlementaire basée à Ottawa. Elle écrit notamment sur les enjeux de défense, l’immigration, les enjeux de sécurité et les sondages d’opinion publique canadienne. Avant de rejoindre la capitale canadienne, elle a été journaliste de données, où ses projets ont été nominés à plusieurs reprises et récompensés pour leur excellence en publication numérique. Elle travaille au Devoir depuis 2019.
La candidature de Chrystia Freeland concrétise son duel annoncé avec l’autre grand favori, Mark Carney.
Personne ne peut prédire avec certitude ce que le milliardaire annoncera au premier jour de sa seconde présidence.
Le chef conservateur a affirmé que le Canada était trop dépendant des États-Unis pour vendre son énergie.
Au contraire d’autres premiers ministres, l’Albertaine Danielle Smith exclut l’idée de couper le pétrole aux États-Unis.
Donald Trump se sert de ce rapport de force comme argument pour annexer le pays.
François-Philippe Champagne, de son côté, compte annoncer mardi sa décision de se lancer ou non.
Le chef de l’opposition a réitéré qu’il n’exclut pas de riposter à Donald Trump avec des tarifs douaniers.
Au moins quatre ministres du gouvernement songent à se lancer dans la course à la succession de Justin Trudeau.
Mark Carney et Chrystia Freeland ont notamment été ciblés par le conservateur Andrew Scheer.
Le Parlement canadien est prorogé jusqu’au printemps.